Depuis que j’entretiens une aimable correspondance avec l’élite littéraire, j’en ai beaucoup appris sur mon compte (et je dois avouer que cela ne me déplait pas, il faut bien évoluer alors je suis toujours preneur d’une critique judicieuse et constructive).Après avoir pris connaissance du fait que j’étais une face de con ( ce qui m’a été confirmé aujourd’hui même par l’immense psychologue, auteur de ce perspicace diagnostique. C’est beau d’avoir des opinions!), j’ai appris il y a peu que j’étais un cloporte (ça, ça ne devrait pas compter, c’est moi qui l’ai dit en premier…)un coprophage (haaa! C’est dégueulasse, peut-être un peu offensant, même? Non! Bon…), un inculte( là, je suis d’accord mais faudrait quand même faire un test comparatif),un pervers narcissique (ça,ça me tente bien), j’en passe pour ne pas avoir l’air de me vanter, vous pourriez me jalouser tels que je vous connais, âmes noires et maudites du Net, avides de diableries, de fourberies odieuses, de sexualité obscène, de vanités affreuses et de Nutella. Mais vous ne savez pas encore le meilleur: je serais jaloux de l’homme de la dame. Ca vous surprend aussi, hein? Je ne dois pas avoir bien compris, ce serait quand même un peu trop, non? Peut-être que madame S n’écrit pas trop clairement, allez savoir… Vous ne savez pas ce que je suis en train de me dire? Bah, je me dis que si ça trouve, Madame S, ce qu’elle écrit, sa vie toute entière en quelque sorte est obligatoirement et nécessairement objet de jalousie. Il faudrait que je lui dise que c’est bizarre, ça pourrait l’aider aussi de savoir que comme moi elle a sombré dans le narcissisme pas trop logique et donc, par conséquent, un peu pathologique, quand même.
Mais, c’est pas tout! Alors que depuis quelques jours j’avais laissé tomber l’affaire faute d’interlocuteurs ayant l’envie d’utiliser un peu plus du vocabulaire que notre belle langue met à leur disposition, v’là t-y pas que la patronne du blog des amis de l’écrivaine nous pond un billet qui vaut son pesant de crottes de biques (désolé je ne vous en ai pas gardées). Elle nous fait deux trois copier/coller de coms tronqués sortis de leur contexte et nous fait la brillante démonstration que je suis toujours l’agresseur originel mais qu’en plus une autre personne a trahi pour avoir laissé un com chez moi; com auquel j’ai répondu sans que puisse apparaitre la moindre collusion étant donné que son auteur ne s’était pas géné pour me faire profiter de son capital de crachats verbeux: et tout ça pour me menacer de harcèlement. Fort de savoir que certains procédés sont homologués par la partie adverse ( à ce propos il est bien clair que cette affaire ne regarde que moi et que je ne tiens absolument pas à ce que ceux qui liront ce billet prennent parti. Je raconte c’est tout, pour le plaisir de me libérer de certains esprits supérieurs et autoproclamés), je fais croire (car ce n’est absolument pas vrai, juré craché) à Madame S que moi aussi j’ai ma collec de copier/coller en laissant entrevoir la notion de diffamation. Qu’est ce qu’elle me répond Madame S? En gros qu’elle n’en a rien à foutre parce que ça ne correspond en rien avec ce qu’elle a l’habitude d’écrire. Moi, je crois que Madame fait de l’esprit mais ne comprend pas tout…
Pascal